Editions Denoël

Mon avis :

Que vous dire à part qu’il y a des romans ou l’on ressort de sa lecture un peu perturbée, ne sachant pas trop si la lecture était bonne ou pas, ou l’on est même pas sûre d’avoir compris l’histoire ni ou l’auteur voulait nous emmener, c’est le cas de celui-ci.

Je n’ai ni aimé ni détesté ma lecture mais elle me laisse indifférente.

Le résumé s’orientait plutôt vers une histoire un peu effrayante parfaite pour le mois de novembre.

Je prendrais un film comme comparaison pour vous expliquer ce roman, vous savez ses films qui finissent sans fin réel, ou quand le générique arrive vous vous dite « quoi ! c’est tout ! mais Il n’y a pas de fin ! on a pas de réponses ! » c’est pareil avec ce roman.

Un nouvel élevé arrive dans un orphelinat déjà plein, cet élevé un peu reclus et qui ne cherche pas à s’intégrer semble voir en chaque fait et geste des autres une mauvaise attention, quitte à tuer ou à brutaliser pour se protéger de probables tentatives contre sa vie. Peu à peu dans le roman on apprend que par période un fantôme vient tuer cinq enfants. A partir de là les enfants de l’orphelinat mènent une chasse au fantôme que tous pensent être ce fameux nouvel élevé.

Et à partir de là j’ai « perdue la foi » comme on dit, le roman est parti dans tous les sens pour une fin totalement déroutante mais pas dans le bon sens du terme.

Bref, je ne conseille ni ne déconseille cette lecture mais si vous l’avez lu ou si vous avez envie de le lire je suis très curieuse de vous lire.

Résumé :

Un nouvel élève vient d’arriver à l’orphelinat, un établissement isolé aux mœurs aussi inquiétantes qu’inhabituelles. Il entend des murmures effrayants la nuit, et ses camarades se révèlent violents et hostiles. Quant au directeur, il lui souffle des messages cryptiques et accusateurs. Seul et rejeté par ses pairs, le nouveau tente de survivre à l’intérieur de cette société inhospitalière. Une rumeur court parmi les pensionnaires, selon laquelle un fantôme hanterait les lieux et tuerait une personne par an. Tous les ans, les garçons se réunissent, sous l’impulsion de quelques anciens, pour démasquer celui d’entre eux qu’ils pensent être le fantôme… et l’éliminer! Simple mascarade potache ou mise en scène sordide pour justifier les meurtres rituels? Cette année, le prétendu fantôme a été clairement désigné : c’est le petit nouveau. Pour une simple et bonne raison, on ne l’a jamais vu saigner, et les guêpes, très nombreuses dans cette bâtisse, ne le piquent pas. La chasse…

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Un commentaire sur “Le Rôle de la Guêpe / Colin Winnette

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