Mon avis

D’abord attirée par la couverture avec ce petit pain d’épice, je suis interpellée par le résumé qui promet une histoire originale.

En 1938, une série de meurtre ciblant uniquement des femmes obèses et gourmandes, le style est intéressant mais l’auteur s’égare en descriptif sur l’histoire des monuments visités par les personnages et s’étend beaucoup trop sur des événements qui n’apporte rien à l’histoire comme un match de foot qui dure 3 pages entières que personnellement j’ai sautée. L’histoire met un certain temps à se mettre en marche et les personnages sont peu réels.

Ce livre n’est pas passionnant et manque de suspense, on découvre le tueur dès les premières lignes du roman et on à parfois l’impression de suivre beaucoup plus le tueur que l’équipe qui le recherche sur qui on ne connait pas grand-chose mis à part le Portugais Tobias Esteves.

J’ai été un peu déçue par la construction du roman car l’idée des meurtres aurait pu être mieux exploitée.

Résumé

Dans le Rio de Janeiro de l’immédiat avant-guerre sévit un tueur en série ayant une particularité : il ne s’attaque qu’aux femmes très grosses. Ainsi disparaissent une prostituée polonaise, une religieuse incapable de résister à la gourmandise, l’attachée de l’ambassade d’Allemagne et plusieurs jeunes femmes de la bonne société carioca. Le commissaire Noronha est chargé de l’enquête. Esteves, un ex-policier portugais reconverti dans la pâtisserie, lui prête main-forte.
Au fil de leurs investigations, ils se rendent dans les quartiers chauds de la ville, au superbe Opéra de style Art nouveau un soir de première, assistent à une course automobile. Noronha et Esteves doivent rassurer les femmes de Rio, qui estiment toutes qu’elles ont les yeux plus grands que le ventre.

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